y a 2 nuit... à la fac

alors reve assez long dont je me suis souvenue et répété.
J’étais à la fac, en plein partiel ave ma collègue actuelle (psy du w comme moi mais pas de la même promo) d'autant que c'était la fac de nice! (ou je n'y fais que mon deug) mais située à bordeaux (est ce clair?) en attendant les examens on va au toilette ou en ce penchant je remarque un tatouage sur je début des fesses... je lui pose la question, elle accepte de baisser et me montre un tatouage a la gun's roses, qui est énorme!
toujours au toilettes mon téléphone sonne et je repond et là ma mère me dit que ma sœur a été poignardé par mon père;;; ok paniqué faut que je lache tout, partiel, que je prenne ma fille et quej e prenne le 1er avion avec esay jet (pour pas payer trop cher... oui je pense à ca dns mon rêve!) et secourir ma soeur ! je pense aussi a denoncer mon père. je me réveille.

et pour info hier j'ai eu ma sœur au téléphone qui spontanément me parle de son reve qui..... est un reve ou son fere (on a pas de frere) poignarde notre pere!!!!! au début de son reve elle voulait le poignardé mais donc son frere la "sauve" de cet acte en le faisant elle même;

Ah oui, c'est étonnant !

Alors le couteau, du point de vue des vécus affectifs ou sensitifs, apparaît sous 2 formes :
- le risque de coupure, piqure... quand il est aux mains d'un agresseur. Là c'est typiquement une auto-inculpation. (Tout personnage dans le rêve est un Alter Ego, une part de soi).
- l'arme qui permet de se défendre (éventuellement contre un agresseur armé d'un couteau, ça j'ai déjà fait et traduit ce rêve). dans ce cas le rêveur a un couteau.

Mais ici pas d'chance ! Le rêveur n'est ni agressé par un couteau, ni armé d'un couteau.

mais dans la façon de raconter les rêves, ce qui est intéressant, c'est de revenir sur les impressions qui y sont vécues.

"j'étais à la fac.. à Nice" Quel était l'état d'esprit : "travaillotage tranquillou" ? Les partiels: excitation ? angoisses ? Ce sont toutes ces impressions qui sont des rediffusions d'impressions sous-jacentes de la veille (et c'est alors qu'on peut faire le lien entre le rêve et la réalité).

Le père est aussi un Alter Ego, une part de soi. Celui qui poignarde ou est poignardé est une part de soi. En l'occurrence, une part de soi qui a une espèce d'autorité sur soi (autorité à laquelle on répond de telle ou telle façon). Concrètement, typiquement, il souffle (mais de façon plus "virile" que le ferait la mère) des références (bonnes ou mauvaises): "tiens-toi comme ceci","il faut faire cela", "où en es-tu" etc

On pourrait se demander si ces 2 rêves ne rediffusent pas des états d'ame face à la question de la "tenue morale", c'est à dire face au choix qui s'étend du "puis-je faire ce que je veux, sans limite" au "dois-je m'obliger aux règles intériorisées".

sellonge a écrit:Ah oui, c'est étonnant !

Alors le couteau, du point de vue des vécus affectifs ou sensitifs, apparaît sous 2 formes :
- le risque de coupure, piqure... quand il est aux mains d'un agresseur. Là c'est typiquement une auto-inculpation. (Tout personnage dans le rêve est un Alter Ego, une part de soi).
- l'arme qui permet de se défendre (éventuellement contre un agresseur armé d'un couteau, ça j'ai déjà fait et traduit ce rêve). dans ce cas le rêveur a un couteau.

le seul "rapport" avec piquer de ma vie est jeudi le vaccin fait à ma petite: le premier a ses 2 mois avait été douloureuxet j'avais du faire plusieurs tour de quartier pour la calmer... donc le 2eme j'aprhender aussi et finalement ca a été... Rapport?

Mais ici pas d'chance ! Le rêveur n'est ni agressé par un couteau, ni armé d'un couteau.

mais dans la façon de raconter les rêves, ce qui est intéressant, c'est de revenir sur les impressions qui y sont vécues.

"j'étais à la fac.. à Nice" Quel était l'état d'esprit : "travaillotage tranquillou" ? Les partiels: excitation ? angoisses ? Ce sont toutes ces impressions qui sont des rediffusions d'impressions sous-jacentes de la veille (et c'est alors qu'on peut faire le lien entre le rêve et la réalité).
Non plutot l'impression de pas être au point (comme d'hab quoi ^^) mais pas plus paniqué que ca et j'avais pas de gruge.

Le père est aussi un Alter Ego, une part de soi. Celui qui poignarde ou est poignardé est une part de soi. En l'occurrence, une part de soi qui a une espèce d'autorité sur soi (autorité à laquelle on répond de telle ou telle façon). Concrètement, typiquement, il souffle (mais de façon plus "virile" que le ferait la mère) des références (bonnes ou mauvaises): "tiens-toi comme ceci","il faut faire cela", "où en es-tu" etc

On pourrait se demander si ces 2 rêves ne rediffusent pas des états d'ame face à la question de la "tenue morale", c'est à dire face au choix qui s'étend du "puis-je faire ce que je veux, sans limite" au "dois-je m'obliger aux règles intériorisées".

oui ... je sais pas...

"le seul "rapport" avec piquer de ma vie est jeudi le vaccin fait à ma petite: le premier a ses 2 mois avait été douloureuxet j'avais du faire plusieurs tour de quartier pour la calmer... donc le 2eme j'aprhender aussi et finalement ca a été... Rapport?"

c'est plus personnel, le premier réflexe c'est plutôt de penser à des piqures d'amour propre. Mais ce n'est pas forcément facile de retrouver le moment de la veille où on aurait vécu de telles piqures (d'autant plus quand la veille est il y a longtemps).
D'autant plus difficile à retrouver que ce sont des alter ego qui poignardent où sont poignardés; les choses sont donc moins directement vécues.