Selon notre point de vue le rêve rediffuse des vécus préconscients (qui naviguent en arrière fond) de la vie réelle précédant le rêve.
Exemple : une odeur, un mot, une image etc rappelle une boulette que l'on a commise dans le passé. Peut alors s'ensuivre, en arrière fond, un énorme sentiment de culpabilité (chez l'hyper-sensible ou l’hyper-moraliste), mais sentiment qui dure si peu de temps qu'il n'est pas mentalisé (il n'est pas conscientisé). C'est cela qui peut réapparaître en rêve.
Une difficulté pour la traduction des cauchemars vient de ce que les vécus réels affreux ne durent généralement que le temps d'un éclair et ne sont donc pas toujours faciles à retrouver.
Il en est de même pour les angoisses de l’avenir.
On peut espérer que leurs conscientisations permettent de meilleures nuits. Mais cela implique d'y faire face le jour, ce qui n'est pas facile...
(Rappelons aussi que certains médicaments favorisent les cauchemars. Dans ce cas, cet effet est mentionné parmi leurs effets secondaires).
Exemple : une odeur, un mot, une image etc rappelle une boulette que l'on a commise dans le passé. Peut alors s'ensuivre, en arrière fond, un énorme sentiment de culpabilité (chez l'hyper-sensible ou l’hyper-moraliste), mais sentiment qui dure si peu de temps qu'il n'est pas mentalisé (il n'est pas conscientisé). C'est cela qui peut réapparaître en rêve.
Une difficulté pour la traduction des cauchemars vient de ce que les vécus réels affreux ne durent généralement que le temps d'un éclair et ne sont donc pas toujours faciles à retrouver.
Il en est de même pour les angoisses de l’avenir.
On peut espérer que leurs conscientisations permettent de meilleures nuits. Mais cela implique d'y faire face le jour, ce qui n'est pas facile...
(Rappelons aussi que certains médicaments favorisent les cauchemars. Dans ce cas, cet effet est mentionné parmi leurs effets secondaires).